économie Archives - Master Intelligence Economique et Stratégies Compétitives Le Master Intelligence Economique qui combine analyse économique, outils de veille, e-réputation, gestion de crise et big data via une formation sur deux ans. Thu, 21 May 2015 16:12:00 +0000 fr-FR hourly 1 En quoi l’économie dépend-elle de la sociologie ? https://master-iesc-angers.com/en-quoi-leconomie-depend-elle-de-la-sociologie/ https://master-iesc-angers.com/en-quoi-leconomie-depend-elle-de-la-sociologie/#comments Fri, 07 Feb 2014 14:51:19 +0000 http://master-iesc-angers.com/?p=584 En quoi l’économie dépend-elle de la sociologie.pdf by AUDACIE Auteur : Dorra Mzah

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Auteur : Dorra Mzah

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LES PAYS AFRICAINS DOIVENT- ILS SIGNER LES APE FINAUX (ACCORDS DE PARTENARIAT ECONOMIQUE) AVEC L’UNION EUROPEENNE ? https://master-iesc-angers.com/les-pays-africains-doivent-ils-signer-les-ape-finaux-accords-de-partenariat-economique-avec-lunion-europeenne/ Tue, 04 Feb 2014 16:03:43 +0000 http://master-iesc-angers.com/?p=555 Il est important de noter que l’union européenne est un partenaire commercial des pays africains depuis très longtemps, et leurs rapports commerciaux remontent depuis les relations de coopérations économiques et commerciales nées de l’époque coloniale, et ayant pris plusieurs formes… Continuer la lecture

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Il est important de noter que l’union européenne est un partenaire commercial des pays africains depuis très longtemps, et leurs rapports commerciaux remontent depuis les relations de coopérations économiques et commerciales nées de l’époque coloniale, et ayant pris plusieurs formes au cour du temps, cependant ce qui nous intéresses présentement ce sont les APE ( accords de partenariat économique) entre l’union européenne et les pays d’Afrique, d’entrée de jeu nous pouvons considérer les APE comme étant les accords commerciaux dont l’objectif est de développer le libre-échange entre l’Union Européenne et les pays dits ACP (Afrique, Caraïbes, Pacifique).

Les APE tels que nous pouvons observer sur le site EUROPEAID (qui est une direction générale de la commission européenne créée en janvier 2001 et ayant pour mission de mettre sur pied les instruments d’aide extérieure de ladite commission. ) présentent des arguments d’améliorer l’environnement des entreprises des pays signataires, de créer des marchés régionaux et en voie de conséquence d’encourager une bonne gouvernance économique grâce à une coopération régionale renforcée dans le domaine commercial, etc…donc vue sous cet angle les APE seraient ainsi pour la commission européenne le meilleur moyen d’achever l’une de ses missions qui lui tient vraiment à cœur depuis très longtemps, celle du développement des pays africains si l’on s’en tient à une déclaration faite en 1950 par l’ancien ministre Français des affaires étrangère Robert Schuman : « L’Europe pourra avec les moyens accrus, poursuivre la réalisation d’une de ses tâches essentielles : le développement du continent africain. » (Alioune Souaré., Jean-Pierre Dufau , 5-8 juillet 2011, p. 4-31.).

Ainsi sans trop nous attarder sur la littérature existante autour du sujet nous devons retenir que les pays membres signataires des APE avec l’Union Européenne sont aux nombres de 79 et dénombrés de la manière suivante : 48 pays de l’Afrique sub-sahariens, 16 pays des Caraïbes ont signés un APE complet et 15 pays du Pacifique dont la majorité ont signés des accords intérimaires. Pour ainsi simplifier nos analyses sur les arguments avancés en faveur des APE, nous nous sommes proposés de nous limiter sur les pays d’Afrique car ces pays dits ACP présentent un niveau de développement plus ou moins similaire d’où le choix de baser nos analyses sur l’Afrique. En effet le but de notre analyse vise à vérifier si les APE tels que présentés pourraient réellement à long terme développer les pays ACP en générale.

Les APE comme nous avons définis plus haut, laissent paraître dans sa définition un mot que nous ne pouvons aucunement ignorer : le libre-échange, pouvant être résumé comme étant la mise en place des moyens ayant pour but d’accroître le commerce international, par la suppression des barrières tarifaires comme les droits de douane et des barrières non tarifaires comme les normes techniques ou sanitaires, les textes législatifs favorisant les entreprises nationales, etc…Cependant il est important de ne pas se tromper que le libre-échange n’est pas la mondialisation,pouvant être considérée comme un libre échange au sens large dans le sens où elle tient compte des mouvements de travailleurs ainsi que les capitaux, alors que le libre-échange dans ce cas de figure se limite uniquement sur les exportations et importations des biens et services.

En outre avant de continuer notre analyse ne perdons pas de vue que les APE tels que encouragés par l’Union Européenne a pour objectif final de développer les pays ACP en général et d’Afrique en particulier, pour ce faire notons que l’Union Européenne dans sa démarche prévoit dans les APE une rubrique d’aide au développement caractérisée par le financement des secteurs tels que l’agroalimentaire, l’industrie, les infrastructures qui contribuera très certainement à l’amélioration de l’environnement des entreprises (EuropeAid, 17, décembre 2012). La question que nous nous posons pour vérifier la véracité ainsi que l’efficacité d’une telle initiative de l’Union Européenne dans le développement de ces pays est la suivante : est ce que les pays ACP une fois ayant obtenus de nouvelles infrastructures, de nouvelles machines dans leurs industries, ou bien même de l’argent en quantité illimité seront aussi compétitifs ? Ou encore permettront-ils à leurs entreprises d’être compétitives à l’échelle mondiale ? Et en voie de conséquence feront d’eux des pays développés comme la France , l’Allemagne ?

Julius Nyerere l’ancien président Tanzanien déclarait : « le développement d’un pays s’opère grâce à l’homme et non grâce à l’argent. L’argent et la richesse qu’il représente, n’est pas le point de départ du développement, il en est le résultat. » (Paris, UNESCO : bureau international d’éducation ; vol xxiv,n°1-2, 1994, p.253-266.), on peut très bien comprendre que c’est le développement humain, et non l’acquisition de nouveaux matériaux qui permettront de préserver la liberté et la dignité véritable de l’homme. Ainsi la construction des infrastructures, des routes, des bâtiments, l’octroient de nouvelles industries ne sont que les instruments du développement et non le développement lui-même. Cependant est ce que Julius Nyerere a raison dans sa déclaration ?

Lorsque nous examinons le tissu économique des pays Africains nous remarquons que ces derniers sont restés dans l’ancienne division internationale du travail c’est à dire la spécialisation selon les avantages comparatifs de David Ricardo qui voudrait que chaque pays se spécialise dans la production pour laquelle il dispose de la productivité la plus forte ou la moins faible, ainsi ceux-ci se spécialisent tous dans les matières premières premières, et les produits agricoles dont les prix dépendent du marché mondial, et possèdent en plus des rendements décroissants ( Erik Reinert, 2012), ce qui a rythme avec la compétitivité prix de leurs entreprises traduit par des produits standards, car la spécialisation à la Ricardo ne tient compte que deux facteurs de production le capital et le travail, contrairement aux pays de l’Union Européenne qui se spécialisent selon les avantages concurrentiels de Michael Porter qui proviendrait du facteur du capital humain spécialisé par rapport au besoin particulier de l’industrie accompagné d’une production de plus en plus immatérielle dans tous les domaines, ces avantages concurrentiels dépendent également de la technologie (TIC), par ricochet le capital humain et la technologie spécialisée sont deux facteurs de productions construits rares, qui signifieraient plus difficiles à imiter et nécessitant des investissements coûteux et soutenus pour les créer. (Camille Baulant, 2008), ces avantages concurrentiels s’accompagnent avec des innovations permanentes qui pourraient se traduire par la différenciation des produits, qui auront pour finalité des rendements croissants. Eu égard nous pouvons ainsi déduire que l’acquisition de nouvelles industries, et infrastructures par les pays africains ne leurs donneront aucunement la technologie, mais tout simplement de nouvelles machines qui deviendront obsolètes en très peu de temps, car la concurrence actuelle est très pernicieuse, les entreprises innovent tout le temps, et celles qui n’innovent pas en permanence sont appelées tout simplement à disparaître, Alcatel et Nokia en savent quelque chose ; par contre nous remarquons bien que c’est pas les nouvelles machines qu’il faut aux pays africains pour qu’ils soient compétitifs, mais plutôt qu’ils soient capable de développer leurs propres technologies au lieu d’utiliser des machines qui seront obsolètes au bout de quelques temps, et pour ce fait, ils devraient commencer par apprendre à copier et reproduire les technologies déjà existantes, car aucun transfert de technologie n’existe en tant que tel donc c’est à chacun d’aller chercher et l’appliquer ou l’adapter dans le contexte de chez lui. Nous pensons également que la réussite de ces pays passera par leurs libérations totales et absolues des impasses technologiques, qui seront accompagnées par la formation des ingénieurs de pointe adaptée aux besoins du continent et la recherche doit être orientée en fonction des besoins spécifiques présent et future ; ce qui revient à dire la signature d’un APE finale entre ces deux continents ne peut tourner qu’en faveur de l’Union Européenne car les APE finaux supposent la suppression totale des droits de douane, bref la suppression totale des barrières tarifaires et non tarifaires, dans un tel schéma l’Afrique ne sera qu’un marché de consommation des produits Européens car les entreprises Européenne à l’heure actuel sont plus innovantes que celles d’Afrique et en plus disposent également d’une trésorerie énorme qui pourront leurs permettre d’adopter une compétitivité prix afin d’écraser la concurrence, sans oublier qu’elles bénéficies le plus souvent des subventions des États. En définitif les pays Africains ayant signés un APE intérimaire ne doivent pas signer un APE définitif, car un tel accord laisse présager une dégradation totale du tissu économique de ces pays ce qui signifie la fermeture des entreprises locales et en conséquence le chômage, mais le plus inquiétant est de savoir où iront ces chômeurs ? Car dans les clauses de l’accord un tel problème n’est pas pris en compte, donc, ils seront tout simplement piégés à l’intérieur du continent.

Pour conclure nous pouvons noter que l’Afrique n’est pas prêt à une ouverture total de son économie, à cause sa fragilité, et nous savons aussi que tous les pays industrialisés ont réussies leurs industrialisations en se fermant, et l’ouverture s’est fait de façon progressif et selon les secteurs (Erik Reneirt, 2012 ) ; Cependant les APE intérimaires sont bénéfiques pour les pays Africains car les clauses tiennent compte de l’écart qui existe au niveau du développement entre l’Europe et l’Afrique, par contre un APE complet et définitif tel qu’il se présente pourrait engendrer une perte totale de leurs souverainetés. Le continent africain aussi convoité par toutes les puissances est-il prêt à sonner la révolte et mettre fin à 500 ans de domination économique et politique ?

ZEBAZE TENESSO

BIBLIOGRAPHIE

CAMILLE : Les « avantages concurrentiels »et la « compétitivité informationnelle et stratégique », (17 janvier 2008 ) .

DUFAU, JEAN-PIERRE., SOURE, ALIOUNE : Les accords de partenariats économiques (APE) entre l’union européenne et les 79 pays d’Afrique, Caraïbes, Pacifique., (5-8, juillet 2011).

REINERT, ERIK : « Comment les pays riches sont devenus riches et pourquoi les pays pauvres restent pauvres », (13 mars 2012).

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L’Afrique prend son avenir économique en main https://master-iesc-angers.com/lafrique-prend-son-avenir-economique-en-main/ Thu, 19 Dec 2013 16:00:13 +0000 http://master-iesc-angers.com/?p=485 « Le continent africain est désormais regardé par les économies occidentales comme l’économie d’avenir pour le monde ». (Ministre Marocain de l’Industrie et du Commerce Moulay Hafid Elalamy, au dernier sommet Franco-Africain décembre 2013) Un article de « Jeune Afrique… Continuer la lecture

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« Le continent africain est désormais regardé par les économies occidentales comme l’économie d’avenir pour le monde ». (Ministre Marocain de l’Industrie et du Commerce Moulay Hafid Elalamy, au dernier sommet Franco-Africain décembre 2013)
Un article de « Jeune Afrique » s’est emparé du sujet pour expliquer les raisons et les conditions de ce changement. Quatre lacunes du passé doivent être relevées pour y parvenir : un encadrement législatif organisé, des moyens financiers dirigés, un secteur privé dynamique et des jeunes formés à tous les niveaux.


Une stabilité politique pour une hausse des investissements

Plusieurs pays Africains se sont lancés depuis près de deux décennies dans une stabilité politique organisée. Beaucoup de gouvernements Africains ont adopté des procédures  démocratiques d’élection. Cela facilite l’organisation de gouvernances plus respectueuses des lois. La stabilité permet alors la confiance et attire les investissements de l’extérieur, comme à l’intérieur, car les règles économiques sont mieux encadrées. Par exemple, en Guinée la croissance estimée pour 2014 par le FMI devrait atteindre 5,2%. Un tel taux de croissance ferait rêver n’importe quel pays Européen, dans l’économie actuelle. Cela ne peut ou pourra se faire que si une meilleure stabilité politique revient. Or les élections législatives ont eu lieu le 28  septembre 2013 dernier.
Une meilleure stabilité est donc acquise, mais est-ce suffisant ?

Il faut aussi une certaine volonté de la part des gouvernements dans la redistribution des richesses des pays. Les ressources naturelles en matières premières de la Guinée (bauxite, or, diamant, fer…) lui apportent des devises étrangères ; elles devraient être dirigées de façon volontariste vers l’économie locale du pays. Cette politique stabilisée volontariste servira alors au développement d’un secteur privé qui ne  demande qu’à prendre son essor. Au-delà de ces investissements économiques directs, les devises  serviront aussi  à la formation notamment des jeunes (le taux d’alphabétisation est actuellement de 41,05%).

Des modes d’organisations et de la formation pour stimuler des ressources humaines

Ces deux premières conditions absolument nécessaires à la prise en main de son économie par l’Afrique devraient être complétées par deux autres dispositions déjà partiellement en mouvement. Ce sont, d’une part, l’aide à l’organisation des entrepreneurs locaux et, d’autre part, la formation des jeunes tant au niveau supérieur qu’au niveau technique et professionnel.

Les entrepreneurs privés (petits et moyens) ont des idées, prennent des initiatives, mais manquent d’organisation : une organisation en réseaux pour faciliter la circulation des informations, une organisation sous forme de coopératives pour mutualiser les moyens par exemple.
Ils manquent aussi de financement ; il serait donc nécessaire de développer un système bancaire adapté à l’échelle de leurs besoins : mutuelles, micro crédit pour les petites initiatives (la fabrication du savon noir par les femmes en Guinée, la production de sel dans les anciennes mangroves).

Ce développement sera encouragé par la formation. Cette dernière comporte deux types :

– Les futurs dirigeants (ingénieurs, universitaires), souvent, sont déjà formés, mais ils n’exercent pas toujours dans le pays. Il faut mettre en place des politiques d’incitation au niveau des revenus et des responsabilités, à des postes qui valorisent leurs compétences.

– Il s’agit aussi que des jeunes aient une volonté de s’engager dans la vie professionnelle avec des connaissances acquises à l’école. Elles seront mises en valeur dans leur travail, et leur permettront d’avoir des initiatives pour créer leur propre petites entreprises, tant chez les femmes que chez les hommes.

L’Afrique a un grand potentiel de développement économique. Avant, elle subissait les politiques de l’extérieur.  Désormais l’Afrique prend son avenir économique en main grâce à une législation volontaire qui accroit les investissements à l’intérieur et attire les IDE. Le secteur privé a une volonté de créer, les gouvernements doivent investir dans la formation et dans l’intégration des compétences de chacun dans l’économie des pays.
L’Afrique est entrain de sortir du néocolonialisme économique.

Quels sera ou quels seront les pays leaders qui feront de l’Africanisation une réussite ?

Ibrahima DIALLO

Source :
JEUNE AFRIQUE HORS SERIE N°35

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Connaissance de la connaissance https://master-iesc-angers.com/connaissance-de-la-connaissance/ Thu, 12 Dec 2013 16:00:14 +0000 http://master-iesc-angers.com/?p=473 “Celui qui dit que deux et deux font quatre, a-t-il une connaissance de plus que celui qui se contenterait de dire que deux et deux font deux et deux ?” Jean Le Rond D’alembert C’est avec une fierté, un peu… Continuer la lecture

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Celui qui dit que deux et deux font quatre, a-t-il une connaissance de plus que celui qui se contenterait de dire que deux et deux font deux et deux ?”

Jean Le Rond Dalembert

C’est avec une fierté, un peu étrange, qu’on se déclare société de connaissance. Il est pourtant illusoire de croire, même avec l’émergence des nouvelles technologies, que l’accumulation et le stockage structuré des informations et du savoir constitue une connaissance.

Qu’est-ce que la connaissance ?

Avant de s’autoproclamer «société de connaissance», il serait peut être bon de définir ce que c’est la connaissance. Il se trouve que la question, qui est de plus en plus d’actualité, était au cœur des débats philosophiques depuis Platon.

Connaître, pour Platon c’est appréhender les essences absolues et immuables des choses au-delà de leurs apparences. Il apparaît clairement que la connaissance n’est pas ce que la chose est mais la conscience de l’idée que nous avons de la chose.

Contrairement au savoir, transmissible et recevable d’une personne à une autre, et basé sur un mode de pensée rationnel, la connaissance privilégie la subjectivité du sujet. Elle fait appel à son intuition, son esprit, ses émotions et sa conscience. C’est d’ailleurs cette subjectivité qui empêche la connaissance d’être statique et fait d’elle un processus qui progresse à la cadence de la conscience du sujet.

La complexité de la connaissance, comme le formule l’éminent John Locke est : comment construire une connaissance générale si tout ce qui est à notre portée est particulier? Donner une réponse à cette question lancinante n’étant pas le but, on portera notre attention sur cette juxtaposition, tout à fait intéressante, de la connaissance et du sujet, du général et du particulier.

Ainsi la connaissance est un fécond rapport entre réflexion et sensation, c’est une création perpétuelle, un cheminement et une duale dynamique de l’information sensorielle et de la formulation cérébrale.

Perdons-nous connaissance?

La connaissance est pour l’humanité un magnifique moyen de s’anéantir elle-même. ” Friedrich Nietzsche (1844-1900)

Le neurologue Français Lionel Naccache, affirme dans son passionnant livre « perdons-nous connaissance» que nos sociétés ont perdu le sens de ce qu’est la connaissance d’où le titre de son ouvrage, ou le jeu de mots est bien réussi.

En effet, information et connaissance ne sont pas à confondre. L’information peut constituer une partie de l’objet mais reste loin d’incarner le processus. L’acte de connaissance, comme le définit l’auteur, met en scène trois unités, le sujet X tel qu’il était et se représentait à lui-même avant de connaître l’objet Y, cet objet Y tel qu’il existe dans le monde extérieur au sujet et enfin le sujet X’, le sujet tel qu’il est devenu après avoir assimilé l’objet Y.

Derrière ce lien logique reliant le sujet à l’objet, se cache une révélation déroutante : X’; Dans cet acte de connaissance ce n’est pas l’objet (Y) qui change mais c’est le sujet (X) qui subit une mutation. De ce fait, l’acquisition de la connaissance est n’est pas un acte sans danger.

Il est curieux de constater que notre société contemporaine manifeste une acceptation totale et absolue sans afficher l’ombre d’une défiance vis-à-vis de la connaissance. Pourtant toutes les traditions antiques ont toujours considérées la connaissance comme «un poison vital». Il suffit d’une mauvaise information transformée imprudemment en connaissance pour que le sujet voit ses repères modifiés et sa représentation du monde bafouée.

«A chaque nouvelle connaissance, nous sommes plus les mêmes. De quoi frémir de plaisir mais aussi de crainte.»1

Rhita EZZEDDI

Source :

https://sites.google.com/site/theoriedelaconnaissance/problematiques-de-la-connaissance

http://www.franceculture.fr/emission-avec-ou-sans-rendez-vous-connaissance-et-neurosciences-2010-06-08.html

http://www.agoravox.tv/actualites/societe/article/comment-passer-de-l-information-a-24993

http://books.google.fr/books?id=SdUAAAAAQBAJ&pg=PA213&lpg=PA213&dq=perdons+nous+connaissance+avis&source=bl&ots=wWDc6razN5&sig=_A4l2_AgBualLupXZmZpMhKoTtw&hl=fr&sa=X&ei=uS2nUovrNcjI0wWP6oDgCw&ved=0CIQBEOgBMAk#v=onepage&q=perdons%20nous%20connaissance%20avis&f=false

http://www.questionsenpartage.com/de-la-connaissance-selon-platon

http://soifdumonde.over-blog.com/page/Philosophie_de_la_connaissance_savoirs_generaux_et_situations_particulieres-257819.html

http://www.academie-en-ligne.fr/Ressources/7/PH00/AL7PH00TEPA0208-Sequence-02.pdf

1 http://www.agoravox.tv/actualites/societe/article/comment-passer-de-l-information-a-24993

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Qui bénéficie de la zone libre-échange à Shanghai ? https://master-iesc-angers.com/qui-beneficie-de-la-zone-libre-echange-a-shanghai/ https://master-iesc-angers.com/qui-beneficie-de-la-zone-libre-echange-a-shanghai/#comments Wed, 04 Dec 2013 12:28:27 +0000 http://master-iesc-angers.com/?p=431 La zone libre-échange (ZLE) de Shanghai a été établie dans la banlieue de Shanghai à côté de la mer de Chine orientale le 29 septembre 2013. Sa superficie est de 28,78 km2 Les services couverts incluent les activités commerciales, financières et logistiques,… Continuer la lecture

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La zone libre-échange (ZLE) de Shanghai a été établie dans la banlieue de Shanghai à côté de la mer de Chine orientale le 29 septembre 2013. Sa superficie est de 28,78 km2 Les services couverts incluent les activités commerciales, financières et logistiques, les services aux entreprises, ainsi que les services socio-culturels. La création de cette zone expérimentale marque la troisième phase du renforcement de l’ouverture de l’économie chinoise lancée en 1978 et qui a notamment amené à l’adhésion de la Chine à l’OMC en 2001. Cette zone expérimentale, correspondant à la révolution économique proposée par la nouvelle génération des dirigeants chinois, espère attirer les investissements extérieurs. Cependant, une liste dite « négative » limite les secteurs d’activités possibles dans la zone pour un meilleur contrôle des autorités. Avec cette nouvelle stratégie, Shanghai veux devenir un nouveau moteur économique pour la Chine, à l’instar de Hongkong.

Investissements extérieurs : un accès plus facile ?

La proposition d’un environnement financier libéralisé est l’une des caractéristiques de la zone de libre-échange. Les banques étrangères, comme la BNP, et les banques chinoise-étrangères y seront autorisées via des licences d’opérations. La ZLE mettra en place la convertibilité de Yuan facilitée, non seulement pour les opérations d’exploitation mais aussi pour les opérations d’investissements. La libéralisation des taux d’intérêt et des transactions financières internationales sera adoptée à l’intérieur de la ZLE. Néanmoins, la libéralisation peut conduire à l’apport de capitaux spéculatifs qui, par conséquence, peuvent entraîner la déstabilisation du marché financier chinois.

Liste « négative » : point négatif ?

La liste négative indique les secteurs inaccessibles pour les investisseurs étrangers. La ZLE a désigné 18 secteurs comprenant 190 activités spécifiques (http://en.shftz.gov.cn/Special.html). Ce nouveau mode de contrôle peut simplifier les processus d’examen de douane. Les entreprises comprennent plus clairement les lois et les règlements intérieurs de la zone par rapport à la liste positive. Cette liste négative permet à la Chine de maintenir la compétitivité de certain secteur locaux comme le coton, le thé, l’alcool chinois le ou les lieux de divertissement etc.

Shanghai : concurrence  Hong Kong ?

La COFACE a indiqué, sur un rapport d’évaluation, la spécialisation réussi de Hong Kong dans le secteur des services (92% du PIB). Le marché offshore du Yuan permet à Hong Kong d’être la première place financière de Chine. Actuellement, la zone de libre- échange de Shanghai, fruit de la réforme économique chinoise, promeut la production des nouvelles formes de commerce et l’ouverture du marché financier. Le rôle de Hong Kong est menacé. De plus, la nouvelle politique de ZLE est favorable aux échanges internationaux. Le profit du tourisme et la consommation de Hong Kong sont aussi partagés avec Shanghai. Quelle sera la stratégie de Hong Kong face à cette concurrence, la coopération ou coopétition ?

Guanwei FANG

Source :

http://www.sjgrand.cn/fr/la-zone-pilote-de-libre-echange-en-chine-shanghai-quels-
avantages

http://www.latribune.fr/blogs/la-chine-et-la-transformation-du-monde/

http://www.latribune.fr/blogs/la-chine-et-la-transformation-du-monde/20131004trib000788865/shanghai-site-pilote-des-futures-reformes-economiques-chinoises.html

http://www.coface.com/fr/Etudes-economiques-et-risque-pays/Hong-Kong

http://en.shftz.gov.cn/Special.html

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Une alternative pour l'écotaxe au profit des trajets "courts" https://master-iesc-angers.com/une-alternative-pour-lecotaxe-au-profit-des-trajets-courts/ Thu, 21 Nov 2013 16:00:10 +0000 http://master-iesc-angers.com/?p=333 Menaçant d’alourdir les charges des transporteurs routiers, l’écotaxe poids-lourds adoptée par la loi Grenelle Environnement a suscité de vives réactions en Bretagne. Le système, mais aussi la perception de la taxe par une société privée font face à la critique… Continuer la lecture

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Menaçant d’alourdir les charges des transporteurs routiers, l’écotaxe poids-lourds adoptée par la loi Grenelle Environnement a suscité de vives réactions en Bretagne. Le système, mais aussi la perception de la taxe par une société privée font face à la critique et J. Sapir dans son article propose un système de taxation alternatif au profit des trajets « courts ».

L’écotaxe en deux mots, la logique du transport durable.

Comme il est écrit sur le site dédié, l’Ecotaxe-Poids Lourds est un des projets adopté par la loi Grenelle Environnement. La taxe doit inciter les chargeurs « à favoriser d’autres modes de transport comme le fret maritime, fluvial ou ferroviaire. » Le réseau taxé couvre 15 000 kms de routes nationales et départementales et certaines régions bénéficient d’avantages comme par exemple la Bretagne. (-50% sur le taux de taxation) Le coût de la taxe dépend du poids, du nombre d’essieux et de la catégorie environnementale du véhicule. (Ici pour plus de détails) Les recettes seront affectées à l”Agence de financement des infrastructures de transport de France (AFITF) et aux collectivités territoriales.

 La critique sous-jacente à la taxe.

La perception de la taxe est effectuée par la société privé franco-italienne Ecomouv détenue par l’Autostrade per l’Italia (en charge de la gestion d’autoroutes en Italie) à hauteur de 70%, par Thalès (entre autre fournisseur de services de systèmes de transport) à 11%, par la SNCF (Transporteur ferroviaire, possède notamment Geodis, une société de transport routier) online slots à 10% et par SFR et Steria à respectivement 6% et 3%. De plus selon le Figaro, le président Daniele Meini a travaillé pour le détenteur majoritaire au département du développement international tandis que le vice-président, Michel Cornil, est ancien conseiller du président de la SNCF. On comprend bien par-là que les recettes de l’écotaxe d’une part, estimées à 250 millions €/an contre 750 millions pour l’Etat, mais surtout l’accès direct aux données des autres transporteurs routiers d’autres parts seront indirectement sous la « main mise » des détenteurs d’Ecomouv. La SNCF récupérerait ainsi une partie des taxes payées par ses filiales comme Geodis…

Pour une écotaxe poids-lourds plus juste.

Selon J. Sapir dans un article du 2 Novembre 2013, le taux kilométrique fixe imposé par la taxe désavantage les trajets « locaux ». En effet, ces derniers doivent passer par le réseau routier et ont moins la possibilité d’emprunter les réseaux fluviaux, maritimes ou ferroviaires que les trajets « longs », ce qui pourrait entraîner une perte de compétitivité pour les produits locaux au détriment de l’environnement et des consommateurs qui supporteront le coût des conséquences de la taxe dans le prix des produits. En adoptant « un coût du kilomètre qui varie en fonction du nombre de kilomètre, on change la donne. » Le calcul d’un taux progressif favoriserait l’utilisation des réseaux alternatifs pour les trajets « longs » et avantagerait « le transport local et semi-local. » J. Sapir prévoit une augmentation exponentielle du taux jusqu’à un certain nombre de kilomètres pour lequel le taux devient fixe, mais est supérieur au taux actuel prévu. Cette nouvelle tarification répond bien aux objectifs de l’écotaxe puisqu’elle pousse les trajets « longs » à emprunter la voie du rail. De plus, elle pénalise le transfert de marchandises importées qui transitent par « un Marché d’Importance National (tel Rungis) » et favorise ainsi le développement local dont « les producteurs d’un certain territoire. »

Sources :

http://www.ecotaxe-pl.com/ecotaxe-pl-l-essentiel/qu-est-ce-que-l-ecotaxe-pl/

http://www.ecomouv.com/web/guest/reseau-taxable

http://russeurope.hypotheses.org/1656

http://www.lefigaro.fr/societes/2013/10/29/20005-20131029ARTFIG00373-ecomouv-cette-societe-italienne-qui-va-gerer-l-ecotaxe.php

http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/le-scandale-ce-n-est-pas-l-ecotaxe-142878

http://www.ecomouv.com/en/management

http://old.utp.fr/actualite/cv/cvmcornil.pdf

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La semaine de la France au Laos https://master-iesc-angers.com/la-semaine-de-la-france-au-laos/ Tue, 19 Nov 2013 16:00:03 +0000 http://master-iesc-angers.com/?p=336 La communauté d’affaires française et européenne organisera du 25 au 30 novembre les premiers RENDEZ-VOUS de Vientiane, capitale du Laos. Pourquoi cette  rencontre ? “Je suis convaincu que la France occupe une place importante au Laos” considère Monsieur Yves Carmona… Continuer la lecture

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Semaine du LaosLa communauté d’affaires française et européenne organisera du 25 au 30 novembre les premiers RENDEZ-VOUS de Vientiane, capitale du Laos.

Pourquoi cette  rencontre ?

“Je suis convaincu que la France occupe une place importante au Laos” considère Monsieur Yves Carmona – Ambassadeur de France au Laos. En effet, la France dispose de la communauté non asiatique la plus importante avec environ 2400 expatriés et du plus grand nombre d’entreprises implantées sur place.

Certes, le Laos est le pays qui compte le moins d’habitants par rapport à ses voisins mais affiche un taux de croissance de 8%, le plus élevé de l’Asie du Sud-Est.

En 2012, la France est le premier fournisseur européen du Laos et se classe au 4ième rang derrière la Thaïlande, la Chine et le Vietnam. Elle est également le premier investisseur occidental. Les grandes entreprises françaises se sont principalement  engagées dans les domaines de l’énergie, l’extraction de matières premières, le transport routier et l’agroalimentaire. Aujourd’hui, EDF-Suez, le Groupe Bolloré, Géodis et les Banques Populaires sont les principaux investisseurs. Ces dernières sont les seules établissements financiers occidentaux installés au Laos.

Un double enjeu pour la France.

Les hommes d’affaires ont la possibilité de rencontrer et de lier de nouveaux partenariats avec les entreprises locales et d’investir sur le territoire, une des portes  d’entrée de la communauté économique de l’ASEAN. L’enjeu de cet événement n’est pas seulement d’orde économique. C’est également une opportunité pour les deux pays d’échanger et de faire la promotion de leur culture respective.
www.semainedelafrance.org

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“Plaidoyer pour les vieux” https://master-iesc-angers.com/plaidoyer-pour-les-vieux/ https://master-iesc-angers.com/plaidoyer-pour-les-vieux/#comments Sun, 27 Oct 2013 13:05:11 +0000 http://master-iesc-angers.com/?p=314 A travers son livre, Jérôme Guedj pense les politiques publiques de vieillesses dans la peau d’un Etat stratège, avec une réelle vision de long terme. C’est une approche de la vieillesse comme opportunité et non comme menace (telle véhiculée à… Continuer la lecture

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A travers son livre, Jérôme Guedj pense les politiques publiques de vieillesses dans la peau d’un Etat stratège, avec une réelle vision de long terme. C’est une approche de la vieillesse comme opportunité et non comme menace (telle véhiculée à travers l’ensemble des réformes de notre système de retraite), qu’il propose sa contribution au débat sur la législation quant à l’autonomie.

Plaidoyer

Ce livre défend entre autre l’idée d’une société misant sur sa vieillesse pour développer de nouvelles filières de l’économie de demain. L’idée du vieillissement, souvent péjorative dans notre société, est ici une opportunité, tant sur le plan social à travers l’amélioration des conditions de vie des « séniors » que sur le plan du développement économique et du soutient d’un secteur prometteur de croissance.
Les services et l’industrie doivent être au rendez-vous du vieillissement de la population : d’une part le développement des services à la personne (professionnels de la santé), d’autre part le développement de l’industrie des gérontechnologie, un secteur de production à forte recherche et développement et porteuse d’avenir. A travers la construction d’établissements dédiés à la santé supplémentaire, ce seront autant d’emplois crées dans le secteur du BTP. C’est avec de nombreux exemples tirés de son expérience professionnelle qu’il illustre ses propos : la question des EHPAD, de la gestion de l’APA (l’Aide Personnelle à l’Autonomie), …
L’enjeu du vieillissement n’est pas seulement économique, mais est aussi un enjeu de la solidarité nationale et intergénérationnelle. Nationale, car c’est au politique de prendre les reines d’une législation avant gardiste sur le plan social et d’investir dans ces secteurs en favorisant les effets de leviers. Intergénérationnelle, car nous avons toujours à apprendre des nos ainés.
Enfin, beaucoup semble l’oublier, mais tout comme la réforme des retraite votée il y a peu au parlement n’a rien de très sociale, il est de chacun de se questionner sur les politiques de vieillesses et ses opportunités sociales et économiques.
Une lecture facile qui permet d’ouvrir son champ de connaissance sur des domaines souvent oubliés !
Retrouvez une critique et des informations supplémentaires

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Le Japon s’intéresse à l’Afrique subsaharienne https://master-iesc-angers.com/le-japon-sinteresse-a-lafrique-subsaharienne/ https://master-iesc-angers.com/le-japon-sinteresse-a-lafrique-subsaharienne/#comments Tue, 08 Oct 2013 23:39:33 +0000 http://master-iesc-angers.com/?p=310 Le Japon met en évidence les opportunités d’investissements qu’offre l’Afrique subsaharienne. Deuxième région au monde en terme de croissance après l’Asie, son économie devrait croître de 5,6% en 2013 selon la Banque Mondiale. Sources : http://www.meti.go.jp/english/publications/pdf/journal2013_08c.pdf http://www.banquemondiale.org/fr/region/afr/overview

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Le Japon met en évidence les opportunités d’investissements qu’offre l’Afrique subsaharienne. Deuxième région au monde en terme de croissance après l’Asie, son économie devrait croître de 5,6% en 2013 selon la Banque Mondiale.

Sources :

http://www.meti.go.jp/english/publications/pdf/journal2013_08c.pdf

http://www.banquemondiale.org/fr/region/afr/overview

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